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26 février 2011 6 26 /02 /février /2011 16:44

Les travaux de la 12éme Assemblée Générale de L' organisation D.P.I.O qui s' est tenue le 2 octobre 2010 à Provins ont renforcé la conviction de ses membres dans la nécessité toujours plus pressante de la reconstruction d' un véritable syndicat de classe, seul moyen d' assumer le niveau suprême de la lutte économique en attente: la grève générale

Cette session s' est tenue en effet durant la dernière phase du scénario 2010 ponctuant une nouvelle étape (mais non dernière, hélas) du massacre du système de retraite.

Un pied dans le "conseil de démolition" du Medef, (officiellement présenté sous l' appellation: "Conseil d' orientation des retraites") l' autre dans leur mise en scène sociale à grande échelle, mais dans tous les cas à fleuret moucheté, les syndicats traditionnels, toutes chapelles confondues, nous ont gratifié une fois de plus de leur art d' éviter le pire (pour le capital s' entend), c' est à dire d' éviter à tout prix la levée en masse qui  s' impose à l' ensemble des travailleurs depuis des années.

Cette stratégie de lutte "doucereuse", visant strictement l' imagerie médiatique en vue du racolage syndical réformiste, et recourant notamment aux manifestations inoffensives du samedi, est véritablement la honte de l' histoire du mouvement ouvrier.

En particulier dans la période ou la pression de l' exploitation capitaliste inflige des blessures toujours plus douloureuses à la masse des exploités.

On est effectivement livré à la honte si l' on compare cette odieuse stratégie de collaboration à la magistrale leçon administrée par le L.K.P guadeloupéen dans le mouvement des 44 jours à la charnière 2008/2009.

Inutile de démontrer, au regard de tels constats, la ridicule fourberie qui gît dans la bouderie d' un certain Bernard THIBAULT à l' adresse d'une cérémonie présidentielle.

Nous  le redirons donc sans relâche: il ne tient qu' à ceux des travailleurs qui sont conscients du bourbier organisationnel dans lequel le prolétariat français,  entre autres, s' enlise depuis des décennies, de prendre sans attendre la tâche de reconstruction syndicale à bras le corps.

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25 février 2011 5 25 /02 /février /2011 15:08

Rendez-vous sur le nouveau site d’intérêt national:

 

http://www.tousaunumerique.fr

 

Qu’y constatons-nous ?

 

Tout d’abord la mise en place d’un site très complet qui contraste avec les autres sites de l’organisation étatique (voir celui de l’assemblée nationale qui n’est qu’une succession de bloc de textes où chaque information se révèle difficile à trouver).

Ici nous avons un site à l’interface épurée au maximum, avec pleins de jolies photos et au design étudié (regardez la taille de police utilisé et comparez la toujours au site de l’assemblée nationale par exemple, et vous aurez une idée du public visé sur chacun des deux sites) ; le français moyen à t-il besoin de titres écrit en gros en couleur et  d‘illustrations pour mieux comprendre un article ? En tout cas c’est ce que semble penser les instigateurs de cette supercherie : il faut que l’information de ce changement puisse être le plus facilement reçue par l’intégralité des masses.

 

D'un autre coté,  on constate que dans leur grande « mansuétude », des aides faramineuses (jusqu’à 250 euros maximum par foyer pour ceux non couvert par la TNT, et seulement 145 euros maximum pour les autres!), un numéro téléphonique spécial et des vidéos didacticielles sont mis en place pour nous « aider ». Mais si de telles ressources peuvent êtres débloquées, comment ce fait-il que le trou de la sécurité sociale ne cesse d’augmenter, et que l’âge de la retraite recule constamment ?

Cette opération confirme une fois de plus les priorités de la classe dominante à l’anéantissement de tout esprit critique par la télévision (qui désormais sera en HD, ce qui semble vouloir dire une assimilation plus performante de l’information par les masses!) au détriment d’une meilleure couverture sociale par exemple afin de pouvoir continuer ses agissements frauduleux en toute impunité.  

 

Mais avions-nous besoin de cette nouvelle preuve pour confirmer notre situation et la necessité de s'organiser?

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5 février 2011 6 05 /02 /février /2011 19:32

Que l' érudit se rassure, il ne s' agît pas d' un inédit de notre grand fabuliste national, LAFONTAINE.

C' est tout près de nous qu' un crabe a bel et bien un jour envisagé de dégraisser le mammouth.

Mais finalement, son insuccès, (répit bien court hélas pour la noble créature), le conduit fort utilement à dégraisser tout autre chose...

Tout les gens ordinaires, les "gens du peuple", comme on dit, ont un jugement assez réaliste sur les milieux possédants et dirigeants (du monde actuel en particulier).

On entend couramment de nos jours l' expression imagée "panier à crabes", laquelle ne manque pas d' universalité, puisqu' elle désigne, quel que soit le niveau, (de la  commune à la "présidence"), ceux qui sont du côté du manche.

Ordinairement, on hésite entre le mépris et l' indifférence à la vue d' un de ces arthropodes  s'   extrayant du panier pour s'  y être estimé mal partagé et dans l' idée peut-être de chercher fortune autrement, ou encore  de vendre la mèche, pour faire payer à ses pairs, en quelque sorte, leur manque de considération.

Il est stupide d' agir ainsi envers un tel crustacé, il peut avoir beaucoup à nous apprendre... sur ce qui se passe dans le fameux panier.

Naturellement, il ne peut avoir que l' attitude d' un crabe, c' est à dire PINCER, parfois à tort et à travers, y-compris celui-là même qui le récupère. Il faut donc faire preuve de discernement sur ce que l' animal  pince ou  ne pince pas.

Je vous recommande en tous cas la lecture du  livre de Claude ALLEGRE  intitulé  l' imposture climatique" vous comprendrez accessoirement ma métaphore sur le panier à crabes... Et je puis vous garantir, nonobstant les cas où il pince dans le vide ou se pince lui-même , il pince en l' espèce magistralement bien et magistralement juste!

Il pourra toujours retourner dans le panier  si çà lui chante. Son petit tour à l' extérieur laissera de toute manière un précieux  éclairage pour le bon sens public.

 

                                                               Un écolo sceptique

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26 mai 2010 3 26 /05 /mai /2010 18:37
C.O.R: Une preuve supplémentaire de la collusion entre politiques, patronat et syndicats
C.O.R: Une preuve supplémentaire de la collusion entre politiques, patronat et syndicats

Conseil d’Orientation des Retraites :

Qu’est-ce- que cet organisme et quelle est sa raison d’être?

Sous couvert de sophismes ficelés par les saints sacrements du profit et matraqués sans relâches par les médias (Baby-boom, allongement de la durée de vie, etc...) cet organisme créé en 2004, est chargé précisément de justifier "l' orientation" de la condition ouvrière, la condition salariée en générale, vers la soumission à un forfait social toujours plus régressif.

On y voit notamment l’évocation d’un système à la carte qui supprimerait purement et simplement toute référence légale à l’âge.

Qui y retrouve-t-on?

…des syndicalistes, et qui plus est les héritiers "félons" de la lutte de classes, (Ex: le cégétiste Jean-Christophe LE DUIGOU) devenus "collabos" siégeant dans cette instance bourgeoise de démolition sociale en compagnie de toute une clique patronale et technocratique, genre Guillaume SARKOZY (la dynastie du culot) et qui nous cuisinent ensemble, à huis-clos, un avenir "aux petits oignons".

Si on rajoute à cet ensemble iconoclaste un aréopage de députés et sénateurs comme le communiste Maxime GREMETZ on mesurera l'étendue de la corruption !

Qui l’eut cru?

Bien que surréaliste, ce schéma faisandé du fameux "partenariat social" consistant de la part des dirigeants syndicaux en vue à trahir leur droit d' aînesse pour un plat de lentilles est bien l'expression actuelle de la situation catastrophique dans laquelle le mouvement ouvrier s'est laissé peu à peu conduire, pour ainsi dire malgré lui, dans une espèce d' hypnose sociale dominée par le réformisme.

Depuis le début des années 80, un groupe de militants intitulé D.P.I.O (Défense et Progrès des Intérêts Ouvriers) ne cesse de dénoncer la dérive qui conduit la classe salariée à la déchéance pour les seuls besoins de la conservation des privilèges capitalistes, dans un système périmé et arrivé dans l' incapacité totale de surmonter ses tares.

La D.P.I.O expose l’accumulation de faits qui sont autant de preuves du passage des appareils ouvriers traditionnels au service de la classe dominante.

Elle en démonte les mécanismes et les responsabilités, et surtout indique l’impérieuse nécessité pour la classe salariée de sortir de la funeste léthargie dans laquelle elle a été fourvoyée depuis des décennies.

- REHABILITER l’héritage historique de la classe ouvrière, mais d' abord le CONNAîTRE pour le sortir de l’imposture.

- RECONSTRUIRE l’instrument permanent indispensable à la reprise du flambeau et se libérer d’un syndicalisme à la petite semaine.

- SE DONNER ainsi, d’urgence, une ORGANISATION ET UNE DIRECTION OUVRIERE INDEPENDANTE, HONNETE et VOLONTAIRE, première tâche incontournable pour assumer le grand combat de la GREVE GENERALE sur les FONDAMENTAUX économiques de la classe salariée: salaires, emploi, conditions d'existence, statuts et conventions.

C’est dans cet esprit combatif que la D.P.I.O vous invite ici à rejoindre ses militants en les contactant par courriel :

reconstruction.dpio@free.fr

VIVE LE RETOUR AU SYNDICALISME INDEPENDANT ET OFFENSIF!

VIVE LA GREVE GENERALE!

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26 mai 2010 3 26 /05 /mai /2010 18:30

La lettre du président du Bureau Central d'organisation de la D.P.I.O. (01 Mai 2010)

 

 

Sale  temps pour les détracteurs du marxisme.

La crise du capitalisme que la propagande bourgeoise supposait déjà neutralisée continue de fulminer, pareille aux  suites d’un  feu compliqué, rampant dans un immeuble ancien, poussiéreux et d’architecture "bric à brac".

Irréfutable, donc, l’analyse marxiste du  capitalisme comme système à crises par principe.

Car il faut le dire, ce qui se passe pour la Grèce n’est rien d’autre qu’un des signes clinique de la furonculose  qui, au delà du racket perpétré par les Etats contre les peuples au secours des  seigneurs du capital financier, indique la pourriture du système tout entier.

Et n’en déplaise aux sycophantes et cireurs de bottes médiatiques et politiques de toutes factures, l’Islande, l’Irlande, l’Espagne, le Portugal,  sont bel et bien "embaumés" de la même puanteur.

Quant aux saletés que mijotent à l’unisson, les gouvernements capitalistes de toute l’Europe, sous couvert de leurs boniments sociologiques (coût de la santé vieillissement des populations, durée de vie etc), elles ne sont en vérité que  manoeuvres conservatoires des privilèges bourgeois aux abois!

Et que dire enfin des facéties  pseudo sociales " obamiennes",  genre  plâtres sur jambes de bois dans une  cour des miracles, seule image réaliste à retenir des Etats Unis dans le domaine considéré.

Il faut donc avoir un sacré fiel pour pointer du doigt les soi-disant mauvais élèves grecs, et faire semblant d’ignorer le reste, histoire certainement d’accréditer à l’avance  cette politique dégoûtante dans l’opinion générale des peuples.

Voilà donc, une fois de plus, le prolétariat international,  acculé à la défense de ses intérêts vitaux face à leur prédateur naturel: le Capital.

Naturellement, il faut compter avec  les manigances de la "pègre mondiale dominante" (possédants, gouvernements et médias à leur solde), pègre qui pour sa part ne considère plus les frontières que pour ce qu’elle en a fait: des obstacles à l’émancipation et au développement politique des peuples, mais certainement pas à l’orgie générale de l’exploitation. La preuve est faite.

Soit dit en passant,  la social-démocratie au pouvoir ou pas selon les pays va sans aucun doute rappeler pour la Nième fois  son alignement intangible sur ces principes.

Mais comment ne pas voir que face  au capital, le travail  se trouve à la croisée des chemins et qu’en conséquence la question qui lui est posée est celle de s’engager sur le bon sans trop attendre, à la queue leu leu ou par groupes, peu importe, mais dans tous les cas en tenant cette fois-ci la barre avec la plus  ferme résolution.

Mais arrêtons nous pour l’exemple à la situation française.

Le massacre de la condition ouvrière y est plus que jamais à l’ordre du jour du capitalisme: Acquis sociaux, salaires et emploi, santé, retraites, conditions de travail et d’existence, dérive chronique des prix  etc.

Bref, un contraste insupportable caractérise l’état actuel de la société:

- d’un côté, la misère rampante, la paupérisation des travailleurs dont certains vivent à la rue et mangent quand ils peuvent

- de l’autre, une orgie de luxe et d’opulence qui dévore et dilapide sans vergogne des masses de capitaux.

Au delà des discours moralisateurs, ici et là, pour amuser la galerie, il ne fait aucun doute que le profit  entend se maintenir par l’écrasement sans scrupule de la classe laborieuse.

Et c' est sur ce fond catastrophique qu' on nous rappelle périodiquement qu' il va falloir toujours plus se serrer la ceinture, qu' il faut fermer et regrouper des hôpitaux, des écoles, supprimer des emplois sociaux, ou comme nous y préparent les médias, échauder un peu plus les retraites.

Pourtant, le seul parcours sur la route côtière de Saint-Tropez à Menton,  suffit à donner aux yeux un mince aperçu des ressources  soustraites au fonctionnement économique et partant à l’alimentation  convenable des besoins sociaux.

Une question hante tous les esprits lucides:

face à cette situation en constante dégradation dans tous les domaines, est-ce que le mouvement ouvrier en général et plus précisément le mouvement syndical ont la réaction qui s’impose?

Aurait-on pu concevoir par exemple, au tant de nos glorieux aînés, un quelconque SARKO :

 - insultant  les salariés jusqu' à se  féliciter devant la clique patronale du MEDEF, que plus personne ne s’aperçoit d’une grève en France ? 

- ayant le culot de plaider pour la "moralisation"  du capitalisme, (à une époque où même les enfants ne s’amusent plus des contines du loup déguisé en agneau), et lors même que son credo nauséabond pour le libéralisme a constitué le fondement de sa campagne présidentielle ?

- sabrant la conditions ouvrière sans l' ombre d' un scrupule, en prétextant de l' intérêt général, comme si son farniente de 15 premiers jours de son mandat sur le yacht du milliardaire BOLLORE n' était un signe suffisant de son allégeance à la ploutocratie ?

- débitant ses sornettes hypocrites sur les  malfaisants de la spéculation, sur le soi-disant  contrôle de l’économie tout en distribuant à ce même monde de "voyous" la mâne de l’argent et de la caution publique!?

Nul doute qu’à une  certaine époque, le peuple laborieux aurait su faire ravaler à la fois discours, insultes, pseudo morale à hurler de rire et politique pourrie aux locataires de  l’Elysée, de Matignon et du palais Bourbon ?

Mais force est de percevoir, au delà de l’ébullition sociale actuelle, un incompréhensible assentiment général! Ne peut-on voir là que le seul effet d’une audace sans précédent du patronat et du pouvoir  réussissant à ce point, à prendre la classe salariée pour une masse de demeurés ? 

N' y a t-il pas autre chose de plus pour qu’une telle  escroquerie puisse prospérer ?

Qui conduit les masses exploitées, pour ainsi dire malgré elles, au moyen d’une espèce d’hypnose sociale, à leur déchéance historique, et notamment à l’abattoir sans pitié de la crise actuelle ?

Parlons sans détour. Le syndicalisme jadis dominé par la lutte de classe ne s’est-il pas métamorphosé en officine de caution aux ambitions capitalistes?

A titre d' exemple immédiat concret: qui a mandaté des dirigeants syndicaux, toutes enseignes confondues  pour aller  se pavaner au conseil «sarkomédefien » d' orientation des retraites sur la nouvelle attaque prévue contre le système ? Personne bien évidemment!

Mais voyez-vous de nos jours, les bureaucraties syndicales "d' accompagnement" pensent tout comme le patronat que les retraites sont entre autres une charge nuisible... aux  actionnaires.

Sans aucun doute, au sortir de leur collaboration, ces gredins s'arrangeront une fois de plus, au moyen d' une savante « comedia del arte » pour étouffer, évacuer et neutraliser si nécessaire la grogne populaire comme en 93, 95, 2003,.. etc., et puis basta, retour au chantier de démolition à huis clos! Commission de ceci, conseil de cela, et l’on en passe, institutions bon chic bon genre qui constituent désormais l’essentiel de leurs fonctions.   

En définitive, un incroyable paradoxe se développe sous nos yeux:

D’un côté, une combativité générale, marquée légitimement par la colère et la violence, une assise évidente de toutes les luttes sur les fondamentaux en péril de  la classe salariée  (emploi, salaires, conditions d’existence) autant de conditions propres à une grande grève générale sur une plate forme revendicative de principe unique: recul du profit capitaliste!

En lieu et place de cela, se réalise  l’ambiance déstructurante du TOUT QUI BOUGE pour rien, alors qu’en vérité RIEN NE BOUGE  à l’ampleur nécessaire.

D 'un autre côté, le développement de l' individualisme, de l' abêtissement social, de la mesquinerie, du sectarisme professionnel, insinuent au sein même des masses exploitées, une détestable  mentalité inspirée de l' idéologie dominante. Elle  invite à voir les "privilégiés" surtout chez  ceux des travailleurs que l’on suppose (de sa fenêtre) en situation "avantageuse".

 A l’inverse, elle pousse à méconnaître, voire à justifier selon les cas, ses propres"avantages" sur  ceux qui sont à la traîne.

Dangereux relents des périodes noires et brunes du siècle passé!

Tout porte donc à conclure que ce qui manque  au renversement de cette nuisible configuration  ce n’est certainement pas l’urgence, mais essentiellement l’outil! lequel se situe de toute évidence à des années lumière du porte-plume  des CHEREQUE et consort!

Dans cet ordre d’idées, les paroles d’un certain Bernard THIBAULT disant : " on n’est pas là pour bloquer le pays" se placent radicalement au dessous du niveau de conscience du serpent.

Comme si le pays n’était pas, déjà comme tant d’autres, bloqué et massacré précisément par le capitalisme lui-même,  et comme si le destin de l’humanité était définitivement à la remorque de ce système pourrissant.

Faut-il qu’il n' y ait rien d’autre qu’un simple volcan pour nous en rappeler la vulnérabilité?

Qu’on ne compte pas en tous cas que l’Organisation D.P.I.O, fût-elle pour un temps la seule et si petite à battre le tambour du préalable de la  RECONSTRUCTION D’UN SYNDICAT DE CLASSE, renonce jamais à ses efforts.

Car dans ce domaine, l’attente ou l’atermoiement interminable  par crainte de l’erreur  revient désormais à ne rien faire pour ne pas se  tromper, c’est à dire la pire des erreurs!

 

 

VIVE DONC L’ORGANISATION  POUR LA LUTTE  QUI  NOUS APPELLE!

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