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27 octobre 2018 6 27 /10 /octobre /2018 18:00

PARLEZ-MOI D’MACRON ET ….

HISTOIRE D’ UNE  ARNAQUE  PRÉSIDENTIELLE (en chanson) QUI EN DIT LONG SUR LE RETARD POLITIQUE  DES FRANÇAIS.

(Essentiellement dédié aux masses exploitées)

 

 

 

La saison s’ approchait où selon nos bonnes habitudes                         

Il nous faudrait remplir  selon toute sa plénitude

Le  devoir des cons comme nos illusions le veulent

Parlez moi d’Macron et j’ vous fous mon poing, sur la gueule,

Sauf le respect que je vous dois.  

 

Quand çà  et là jaillit cette agitation malicieuse

Venue de nos merdias  cette propagande foireuse

Qui flatte si bien nos consciences  aveugles

Parlez-moi d’Macron et j’ vous fous mon poing, sur la gueule

Sauf le respect que je vous dois.

 

Apparemment personne n’ a  senti le vent  de l’ arnaque

Les mafieux d’  la finance ont bien étudié leur attaque

Sans que l’ on s’en doute  tout se tramait en coulisse

Parlez moi d’Macron et c’ est sur  vos pompes  que je pisse

Sauf  le respect que je vous dois.

 

Il leur fallait trouver  en cette période critique

Un faiseur de miracle qui  chamboul’rait la politique

Pour que  les « partis » se retrouvent dans leurs linceuls

Parlez moi d’Macron  et j’ vous fous mon poing sur la gueule

Sauf le respect que je vous dois

 

Le  plus grave  c’ est qu’ d’ emblée il annonçait la couleur

Quand la « tête » est rentrée, il est bien trop tard pour les pleurs

« J’vais vous l’ mettre profond », il nous promettait le pire

M’ parlez pas d’ Macron pour essayer de m’ faire sourire

Sauf de colère et d’ désarroi.

 

Pour réussir le coup il fallait fouiller dans la merde.

Dans ces milieux pourris y a tout ce qu’ il faut pour  s’ y perdre

Pour nous dévier de l’ essentiel , ça va de soi

Parlez-moi d’ Macron et j’vous fous mon poing sur la gueule

Sauf le respect que je vous dois.   

 

 

La peau d’ Fillon pour nous ne pouvait pas être gratis

Y a qu’ les couillons pour croire à l’ innocence de la justice

 « Marine » n’ était là  que pour fausser la facture

Pour que notre trouduc puisse  l’ emporter à coup sûr,

 Que le banquier se change en roi.  

 

La France avait connu  Stavisky voleur de fric

Peut-être a-t-elle voulu son équivalent  politique

En fait elle  hérite des deux fondus en un seul

Parlez- moi d’Macron et j’ vous fous mon poing sur la gueule

Sauf le respect que je vous dois.

 

 

Et maintenant ça grince et ça pleure  dans les chaumières

Le feu  s’ est concentré contre  la grand’ classe  ouvrière

Toute cette politique dégoutante et merdeuse

Pour combler les riches il plume les gueux et les gueuses  

Et ceux qui s’ plaignent leur fait « gros doigt » !

On  en a marre de recevoir ses coups d’ pieds  aux fesses

 Nous voilà donc soudain  arrachés à notre  paresse 

Croyant qu’ un  bordel routier  pourrait en un   jour

Repousser toutes les  saletés  qu’on  a  r’çues dans  la gueule

Tout c’ qu’ on a pris dans l’ « troubadour »

 

 

Quand allons nous comprendre l’ impuissance du vote

A  secouer le joug de l’ exploitation qui nous croque

Arrêtons enfin de croire au tigre  végétarien

Parlez –moi d’ voter et  tournez le cul que j'vous botte

La soumission c’ est pour les chiens

 

 

Pour faire ravaler à ces enfoirés  leur  cravache

Il faut reconstruire nos outils pour la lutte’ de classe

Parti et syndicat bien en ordre de marche.

Virons les collabos  qui nous ont fait perdre nos traces

Du vrai salut  r’prenons la  voie

 

 

 

Le capital ne craint rien tant que la vraie colère

De la levée en masse’  des travailleurs des prolétaires

La grève générale est restée trop longtemps veuve

Pour nous préparer à leur foutre nos poing sur la gueule

Unissons-nous comme il se doit.

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